Informations HRP :
Pseudo : Miaooow
Classe : Ecaflip
Cercle de puissance : 119 en ce moment même, mais dans les prochains jours, 12x.
IRL : J'ai 15 ans (bientôt), j'adore rire et faire des blagues réellement nulles. Je suis une fille ! (quand même...). J'habite dans le finistère.
Au plaisir, /w Miaooow ou -Underhand-
Pourquoi intégrer la Caravane ? Vos motivations ?
Je suis resté dans la guilde l'Ordre des Dofus Disparus de mon lv 31 à mon lv 118 (c'est à dire assez longtemps ^^). L'oddd a été ma toute première guilde. J'ai apprécié beaucoup de gens (et que j'apprécie toujours) dans cette guilde, et aussi ceux qui sont partit. Malheureusement, je suis parti. Le meneur a réagit ma foi, un peu trop brusquement et à viré quelqu'un que j'appréciais beaucoup et qui fait partit du projet des Mercenaires sur raval. J'ai donc, pour la première fois cliqué sur la croix, chose que j'ai hésité à faire maintes fois. Je me suis mise à la recherche d’une guilde. Une guilde RP plus précisément, car je me suis rendu compte que c’est ça que je recherche. J’ai donc parcourut l’annuaire JoL, votre forum, et reperé certaines personnes qui font partis de L’empreinte ^^. Je recherche une guilde de bonne ambiance, avec qui je peux faire des choses.
RP :
(J'espère que vous ne serez pas déçu, mais j'ai pris l'histoire que j'ai faite pour les Mercenaires. Elle est longue par contre ^^'. J'ai changé la fin, pour qu'elle convienne au dessein de la Caravane. J'ai volontairement laissé "Elya" sous mon nom de "code", car je préfère ce pseudo à Miaooow... -j'étais jeune à l'époque :'D).
A Sufokia vivait une famille, composé d’une sacrieuse, nommée Harushi et d’un disciple d’Osadomas, Capricornus. Ils avaient avec une petite Ecaflip, Elya (on ne sait d’ailleurs comment ils ont réussit à en avoir une… !) Ils résidaient dans une petite maison, près de l’eau. C’était une jolie maisonnée, avec un lit, un oiseau en cage, surnommé « Chwibac » par un ami de Elya, une table de cuisine, et quelques tapis et tableaux. Harushi était une très belle chasseuse, et ramenait pleins de choses, accompagné de sa fille. Capricornus restait avec ses tofus et ses bouftous, ce qui énerva vite la jeune sacrieuse. Elle décida de partir pendant quelques temps avec Elya, laissant son mari seul.
Elya et sa « maman » sacrieuse traversèrent la forêt des Abraknydes, et elles y retournèrent souvent. C’est ici que le petit chaton appris beaucoup de chose, et d’ailleurs, à se familiariser avec les araknes. Elle en avait une peur bleue au début, mais petit à petit, elle s’y habitua. Avec sa mère, Elya parcourait tout Amakna, à la recherche d’animaux qu’elles pouvaient vendre cher au marché. Quand elles revinrent chez elle, la maison était inhabitée. Capricornus s’était fait la male depuis longtemps. Il n’avait rien laissé, le départ de son père attrista Elya, mais sa mère était là.
A l’âge de ses dix-huit ans, Elya partit de chez elle. Elle traversa tout Amakna, et après s’être perdue une bonne dizaine de fois, à demander aux habitants où se trouvait la mer –qui lui répondait tout bêtement « tu es à l’autre bout… » - elle atterrit enfin au port de Masterdam. Elle y rencontra Lily, une jeune navigatrice qui faisait des aller retour vers l’île Wabbit. Elle s’intégra à son équipage, bien qu’ayant une peur bleue de l’eau. Sa soif d’aventure était plus grande que sa peur. Elle avait déjà parcourut tout Amakna –vu qu’elle s’est perdue- et en avait assez de cette terre chauffante. Elle voulait se rafraîchir un peu !
C’est là qu’elle y apprit toutes ses connaissances sur les marées et la navigation. Le temps d’une traversée, elle savait parfaitement manier un bateau. Elle eut du mal au début, car la mer était dure, et ne faisait pas de pitié aux navigateurs, leur envoyant des bourrasques et autre tempête qui remuait bien les ventres fragiles ou pas. Quand elle revint sur la terre ferme, elle s’engagea dans un autre navire, qui était accosté au port. Celui-ci, aux allures d’honnête bateau marchand, était en fait un navire pirate –ou piwate-. C’est ici que Elya apprit à tuer, à boire du rhum et à aimer la richesse. Au départ, elle fut complètement paniquée. Elle raconte que la première fois où elle enfonça la lame de son épée dans le corps d’un malheureux, elle ne pu dormir pendants cinq nuits.
« C’était une matinée très calme, nous raconte t’elle, une petite brise poussait le navire. Soudain, la vigie annonce « Bateau en vue ! ». Le capitaine se précipite sur le pont, et armé de sa longue vue, regarde dans la direction du bateau. Juste après, son second lui dit « Hey c’ptaine, c’pas par là qu’il est v’tre bateau… là c’est un rocher… » Le second s’enfuit, car le capitaine vient de grogner. Gêné, il lui dit « Bagnard, reviens ici ! Tu dois me payer ça, tu as réussis à me faire passer pour un imbécile ! C’est toi qui as dévié ma longue vue ! » Le commandant remit son chapeau en place –qui tombe toujours quand il s’énerve- et regarde à nouveau dans la longue vue. Il nous annonce un navire marchand, beugle de faire hissez le faux pavillon, et nous demande de nous ternir près, la lame sortie. Une longue attende s’ensuit soudain. J’ai toujours eu l’impression –à chaque fois qu’on attaquait un navire- que cela durait des heures. Je pense que c’est pareil pour tout l’équipage. On voit le bateau se rapprocher, tout les monde est stressé, à cause de l’attente, rêvant ou se demandant ce qu’il y a dans le bâtiment en approche… Le navire passe à côté de nous. Le capitaine s’écrit « À vos arpons ! Lame sortie, gardez le capitaine mes gaillards !! » Tout les pirates se rejetèrent alors. Le pavillon avait été hissé depuis belle lurette, une tête de Wabbit Squelette, et deux os qui lui passent dernière la tête. Les canons commencèrent à tirer dans le navire marchand. Je passe sur les planches de bois installés par les autres, et saute sur le bateau. C’est la cohue générale. Des cris, partout… Je sors ma lame, bien aiguisée pour l’évènement, et me jette sur un moussaillon… Mon adversaire était faible, ça se voyait, et n’avait jamais réellement croisé le fer avec quelqu’un. Je le désarme facilement, et lui donne le coup de grâce. Quand je vous dis que l’on s’en souvient toute sa vie de la première fois… Ma lame s’enfonce dans sa chair tendre. Affolée, je la retire en vitesse. Trop tard. Il agonise déjà sur le sol, son sang s’incrustant dans le bois. La bataille est finie. »
Des batailles s’en suivirent, l’équipage la traita bien. Malheureusement, une tempête poussa le navire vers les côtes. Ils atterrirent sur une île étrange, où l’on se faisait attaquer par des plantes. Des tortues sillonnaient la plage, armé de sabre. On appelait cette île, si vous ne l’avez pas reconnu, l’île Moon. Le bateau n’était pas en état de reprendre la mer. Les pirates s’installèrent donc, où ils mènent une vie paisible, devant tuer les millions d’aventuriers qui venaient troubler leur sieste. Elya décida de les quitter, et d’aller voir sa mère –qui lui manquait, il faut l’avouer-. Son capitaine, le Chouque, ou Chouquette pour les intimes, lui donna, en signe de reconnaissance, son propre chapeau, et une bouteille de rhum –que Elya garde toujours sur elle-. Le chapeau fut recopier par un grand maître tailleur, qui l’appela « Troma », mais seul le véritable chapeau du Chouque avait un trou dans la couture intérieur –peut être un coup de fusil ou de lance… ?-. Selon une légende raconté par le mari de Elya, le Troma répondrait à son propre nom : Tromate.
Le Chouque, lui, qui était resté sur l’île, devait affronter les aventuriers qui venaient chaque jour pour tenter de lui voler ses caleçons. (Il parait que c’est très en vogue.)
Elya quitta l’île après avoir apprivoisé deux tortues, qui l’ont escortés jusqu’à la côte. Elle retrouva alors sa mère, à Sufokia. Après avoir passé quelques mois paisibles à siroter du jus de Kokoko et à dorer au soleil, Elya décida de se renseigner sur cette citée qui terrifiait bon nombre d’habitants : Brakmar. Son père lui en avait parlé quelque fois, et quand il lui racontait des histoires sur Brakmar la noire, il avait toujours cette lueur d’amour dans ses yeux…
Elle entreprit donc son voyage. Elle passa par le labyrinthe –elle s’était dit que cela serait plus rapide-, et se perdit de nombreuse fois. Elle se fit un ami là bas, un chafer, nommé Georges, qui, dès qu’il la retrouvait dans le labyrinthe lui offrait un thé ou une tisane –cela dépendait du moment-. Elya passait beaucoup de temps là bas –mais beaucoup plus qu’elle le dit- et s’intéressa beaucoup aux plantes qui parsemait la forêt. Elle se dit que si il y a avait un alchimiste à Brakmar, elle suivrait un apprentissage. Elle était convaincue que cette citée lui conviendrai bien. Quand on a déjà tué, et qu’on aime les richesses, une telle citée ne peut qu’être accueillante. Arrivée dans la belle citée noire, elle y apprit le métier d’alchimiste, et devint bouchère, en hommage à sa mère. Elle s’y installa, et apprit la langue courante de Brakmar la Noire. Elle garde d’ailleurs quelques petites expressions dont elle ne peut s’en débarrasser : « Maljour » et « Malsoir » Elle y rencontra un jeune Sadida, alchimiste lui aussi, et ils passaient des heures à décrire Brakmar la belle. Ils restaient à discutailler, elle écoutait le Sadida déversé ses paroles en une cascade, inépuisable. Qu’il faisait de beaux vers, sur elle et sur Brakmar… Elya quitta Brakmar, pour une raison indéfinie.
Elle passa par Astrub, où elle y apprit la paysannerie. Elle repartir ensuite explorer en profondeur la forêt des Abraknydes. Elle y rencontra un jeune Ecaflip, nommé Epica. C’est avec lui qu’elle partagea le plus d’aventure, adorant arracher/voler des griffes de leurs mauvais parents les bwaks (dont un Bwaky, qui est mort, puis un autre Bwaky II , puis ensuite Bwaky III –vive l’originalité-) ou bworky. Ils se marièrent, et intégrèrent L'ordre Des Dofus Disparus. Pourtant, Elya decida de quitter, et suivit Khyrra, une sacrieuse pleine de force. Elle entendit parler de La Caravane du Silence, cette guilde, qui voyageait à travers tout Amakna. Tout de suite, elle voulut se joindre à eux, pour découvrir de nouvelles aventures.